Διοσκορίνθιος

Διόσκοροι

Διόσκορος
Διόσ·κοροι, postér. Διόσ·κουροι, ων (οἱ) les Dioscures (litt. jeunes garçons de Zeus) c. à d. Castor et Pollux (v. Κάστωρ et Πολυδεύκης) frères d’Hélène, appelés aussi Τυνδαρίδαι (v. ce mot) et Δίδυμοι « les Jumeaux ou Gémeaux », dieux protecteurs des marins auxquels ils apparaissent dans les tempêtes sous la forme de feux de Saint-Elme (= Sancta Helena), lueur phosphorescente qui, par un temps d’orage, voltige sur la mer ; p. ext. protecteurs des voyageurs sur terre et sur mer, et, p. suite, dieux de l’hospitalité ; honorés surtout comme dieux équestres présidant aux courses de chars et aux concours gymniques ||
E Διόσκορ- en vieil att. ; Διόσκουρ-, forme att. plus réc., ion., et de gréc. réc. ; le duel plus us. que le plur.: τὼ Διοσκόρω, Eur. Or. 465, I.T. 272, Hel. 282, 720 ; Ar. Pax 285, Eccl. 1069 ; Xén. Hell. 6, 3, 6, etc. ; gén. τοῖν Διοσκόροιν, Mén. 4, 278 Meineke ; ttf. le plur. très us. οἱ Διόσκοροι, Eur. Hel. 1167, El. 1239 ; Xén. Conv. 8, 29 ; Plat. Leg. 796b ; Arstt. Eud. 8, 12, etc.Du radic. Διόσκουρ-: duel τοῖν Διοσκούροιν, Luc. Char. 3 ; Arr. An. 4, 8, 2 ; plur. οἱ Διόσκουροι, ion. Hdt. 2, 43 et 50 ; 6, 127 ; Eur. I.A. 769 ; Thc. 3, 75 (un seul ms. Διοσκόρων) ; Plut. M. 483c, etc.Écrit en deux mots Διὸς κοῦροι, Hh. 33, 1, 9.