ἀκροπολεύω

ἀκρόπολις

ἀκροπόλος
ἀκρό·πολις, εως () la ville haute, d’où citadelle, Od. 8, 494 ; Hdt. 1, 84 ; Eschl. Sept. 240, etc. ; à Athènes, l’Acropole, Thc. 2, 13 ; And. 10, 31, etc. ; γεγράφθαι ἐν τῇ ἀκροπόλει, Dém. 1337, 24, ou ἀνενεχθῆναι εἰς ἀκρόπολιν, Dém. 1327, 25, être inscrit ou porté à l’Acropole (où était le trésor public) c. à d. être débiteur de l’État ; p. anal. ville-acropole, en parl. de Delphes, placée dans la montagne et centre de la Phocide, et qui était en qqe sorte l’acropole de ce pays, Eur. Or. 1094 ; fig. citadelle, rempart, en parl. d’une pers. ou d’une chose, Thgn. 233 ; Plat. Rsp. 560b ; Arstt. P.A. 3, 7, 11 ||
E Dans un décret de la fin du 4e siècle av. J.-C. ἀγρόπολις, CIA. 2, 272, 11 (v. Meisterh. p. 58, § 27) ; cf. γναφεύς, γναφεῖον, κωλαγρέται, etc. = κναφεύς, κναφεῖον, κωλακρέται, etc.Au dat. sg. qqf. ἀκροπόλῃ, CIA. 2, 50, 17 (372 av. J.-C.), etc. (v. Meisterh. p. 108, § 52, 2). — Qqf. construit sans article : ἐν ἀκροπόλει, CIA. 2, 54b, 26 (363 av. J.-C.), à côté de ἐν τῇ ἀκροπόλει, CIA. 2, 49, 17 (365 av. J.-C.) ; v. Meisterh. p. 187, 21.
Étym. ἄ. πόλις.