ἀλαλάζω
ἀλαλάξιοςἀλαλάζω (impf.
ἠλάλαζον, f.
ἀλαλάξομαι, ao.
ἠλάλαξα, pf.
inus.) [ᾰλᾰλ]
I intr.
1 pousser le cri de guerre
en marchant à l’ennemi, Xén. An. 6, 5, 27, etc. ; ἀλ. τῷ Ἐνυαλίῳ,
Xén. An.
5, 2, 14 dout. pousser le cri de guerre
en l’honneur d’Ényalios ||
2 pousser un grand cri,
en gén. Pd.
O. 7, 37 ;
en parl. d’un cri de joie, Eur. El. 855 ; de douleur, d’angoisse, de
frayeur, Eur. El. 843 ; Plut. Luc. 28 ; NT. Marc. 5, 38 ; Nonn. D. 70, 6, etc. ||
3 en
parl. d’instruments, retentir, Eschl. fr. 55 ;
NT. 1 Cor.
13, 1 ||
II tr. annoncer avec des cris de joie, proclamer :
νίκην, Soph.
Ant. 133, une
victoire ||
Moy. pousser le cri de
guerre, Arr. An.
5, 10, 3 ||
E Impf. poét. ἀλάλαζον,
Nonn. D.
1, 242 ; fut.
ἀλαλάξομαι, Eur.
Bacch. 593 ;
postér. ἀλαλάξω, Spt. Jer. 29, 3, etc. Ao. 3 sg. poét.
ἀλάλαξεν [ᾰλᾰλ]
Pd. O.
7, 37 ; pour
l’ao. ἠλάλαξαν, dans Xén. An. 5, 2, 14, Dind. et Cobet lisent ἠλέλιξαν.
Étym.
ἀλαλή.