ἀνδριαντουργός

ἀνδριάς

ἀνδρίζω
ἀνδριάς, άντος () statue d’homme, d’où statue en gén. Pd. P. 5, 40 ; Hdt. 1, 183 ; 2, 91 ; Thc. 1, 134 ; Xén. Mem. 2, 6, 6, etc. ; Plat. Rsp. 514e ; ἀνδριάντας γράφειν, Plat. Rsp. 420c, peindre des statues ; c. symbole de mutisme, Luc. V. auct. 3 ; Syn. 55d ; d’insensibilité, Arr. Epict. 3, 2, 4 ; de nudité, D. Chr. 2, 34 ; iron. en parl. d’un bellâtre, d’une poupée, Dém. 270, 11.
Étym. ἀνήρ.