ἄντρον, ου
(τὸ) grotte, antre, caverne, comme habitation des nymphes et des dieux champêtres,
Od. 13, 203 ;
Hés. Th.
483 ; en parl. de
l’antre de Polyphème, Od.
9, 216 ; comme
repaire d’un lion, Eschl.
Eum. 193 ;
ou refuge d’un serpent, Eur. Ph. 232.