ἀποκτείνω
ἀποκτενείωἀπο·κτείνω (f.
-κτενῶ, ao.
ἀπέκτεινα, ao.
2 ἀπέκτανον [τᾰ] pf. 2 ἀπέκτονα)
1 tuer, faire périr,
Il. 5, 675,
etc. ; Od.
23, 121, etc. ; avec un suj. de
chose (pièces de bois tombant sur
qqn) Eschn. 88,
36 ; particul. mettre à mort,
exécuter, en parl. du bourreau,
Hdt. 6, 4 ;
p. ext. condamner à mort, en parl. des juges, Ant.
140, 24 ; Plat.
Ap. 30d, etc. ; en parl. de la loi,
Plat. Prot.
325b ;
ou demander la mort d’un accusé,
en parl. de l’accusateur, And. 34, 7 ; Xén. Hell. 2, 3, 21 ||
2 fig. faire mourir (de dépit, de désespoir,
etc.), mettre à la torture, Eur. Hipp. 1064, Or. 1027 ||
E Pour le pass. les Att. emploient de préférence
ἀποθνῄσκω ὑπό τινος (v. ἀποθνῄσκω). —
Fut. ion. -κτενέω, Hdt. 3, 30. Ao. 2, 1 pl. poét.
ἀπέκταμεν, Od.
23, 121 ; inf.
ἀποκτάμεναι, Il.
20, 165 ou
ἀποκτάμεν, Il.
5, 675. Pf.
réc. ἀπεκτόνηκα, Arstt. Soph. el.
33, 2 ; Plut.
Tim. 11 ;
ou ἀπέκταγκα,
Arstt. Pol.
7, 2 (vulg. ;
mss. ἀπεκτακότα); Pol.
3, 86, 10 ; ou
ἀπέκτακα, Pol.
11, 18. Pl. q. pf. 3
sg. ion. ἀπεκτόνεε, Hdt. 5, 67. Pass. ao. ἀπεκτάνθην,
DC. 65, 4 ;
pf. inf. ἀπεκτάνθαι, Pol.
7, 7. Moy. ao. 2 au
sens pass. 3 sg. ἀπέκτατο,
Il. 15, 437 ;
17, 472 ; part. ἀποκτάμενος,
Il. 4,
494.