βασιλίζω

βασιλικός

βασιλικῶς
βασιλικός, ή, όν [ᾰσῐ]
I qui concerne un roi, de roi, royal, Hdt. 2, 173 ; Eschl. Plat. etc. ; p. opp. à τυραννικός, Arstt. Pol. 3, 14, 11 ; οἱ βασιλικοί, Pol. 8, 12, 10 ; Plut. etc. ceux qui sont attachés à la personne ou au service du roi (officiers de la maison du roi, courtisans, ambassadeurs, etc.) ; ou partisans du roi, troupes royales, Str. App. ; ἐγκλήματα β. Pol. 26, 5, 1, accusations de haute trahison ; τὰ βασιλικά, les prérogatives royales, Spt. 1 Macc. 15, 8, etc. ; ou tributs, impôts, Spt. 1 Esdr. 1, 7 ; 1 Macc. 10, 43, etc. ; Jos. A.J. 13, 2 ; etc. ||
II qui convient à un roi, digne d’un roi, Xén. Œc. 21, 40 ; An. 1, 9, 1 ; Isocr. 20d, etc. ||
III subst.
1 ἡ βασιλική (s. e. τέχνη) Plat. Pol. 291e, l’art de régner ; (s. e. στοά) Plat. Charm. 153a, le portique de l’archonte-roi, à Athènes ; (s. e. οἰκία) Vitr. 5, 1, salle publique pour rendre la justice, et bourse de commerce, à Rome (cf. Plut. Cato ma. 5, 19 ; App. Civ. 2, 26) ||
2 τὸ βασιλικόν, palais impérial, à Rome, DC. 60, 4 ; ou trésor royal, DS. 2, 40 ; ou décret royal, Spt. Esth. 1, 19 ; ou basilic, sorte de plante, Arstt. Plant. 1, 4, 10 ; ou basilicon, sorte d’onguent, A. Tr. 3, 175 ||
3 οἱ βασιλικοί (v. ci-dessus) ||
4 τὰ βασιλικά (v. ci-dessus) ||
Cp. βασιλικώτερος, Plut. Alex. 21.
Sup. βασιλικώτατος, Xén. An. 1, 9, 1 ; Plut. M. 32a.
Étym. βασιλεύς.