δεῖν

δεῖνα

δεινάζω
δεῖνα (ὁ, ἡ, τὸ) décl. ou indécl. (v. ci-dessous), touj. précédé de l’art. un tel, une telle, Att. (v. ci-dessous) ; τὸν δεῖνα τὸν τοῦ δεῖνα, Ar. Th. 622, un tel fils d’un tel ; ὁ δ. ἢ ὁ δ. Dém. 27, 11, tel ou tel ; ὁ δ. καὶ ὁ δ. Arstt. Rhet. 3, 15, 5, tel et tel ; au neutre, en parl. de choses qu’on ne peut pas ou qu’on ne veut pas désigner par leur nom, Ar. Lys. 921, Av. 648, Pax 268 ; particul. p. euphém. Ar. Ach. 1149, Pax 867 ; qqf. précédé de οὗτος : οὗτος ὁ δ. Jul. Ep. 17, un tel que voici ||
E Décl. : nom. ὁ δ. Ar. Ran. 918 ; cf. ci-dessus. Gén. τοῦ δεῖνος, Dém. 167, 25 ; Arstt. Pol. 2, 3, 5. Dat. τῷ δεῖνι, Dém. 488, 23 ; Luc. Ind. 3. Acc. τὸν δεῖνα, Dém. 167, 25. Plur. οἱ δεῖνες, Dém. 756, 13 ; τῶν δείνων, Dém. 489, 12. — Indécl. (v. ci-dessus). — Fém. ἡ δεῖνα, A. Lib. 22. — Dans les Gramm. gén. τοῦ δείνατος, Dysc. Pron. 336b ; EM. 614, 51 ; dat. τῷ δείνατι, EM. 614, 51. — Nomin. syrac. ὁ δεῖν, Sophr. (Dysc. Pron. 335c).
Étym. Étymol. inconnue.