ἐκγοητεύω

ἔκγονος

ἐκγράφω
ἔκγονος, ος, ον, né de : d’où subst.
I ὁ, ἡ ἔκγονος :
1 fils, fille, en parl. de pers. Il. 5, 813 ; 20, 206 ; Od. 3, 123 ; 11, 236 ; Eur. Hec. 955, H.f. 822, 876 ; Plat. Tim. 40d ; syn. de παῖς : ἐκγόνους παῖδάς τ’ ἐκγόνων, Plat. Tim. 18d, nos rejetons et les enfants de nos rejetons ; invers. καὶ παισὶ παίδων τε ἐκγόνοις, Plat. Ep. 334d, et pour nos enfants et pour ceux qui naîtront de nos enfants ; de même ἐκγόνων ἔκγονοι, Plat. Criti. 112c, les enfants de nos enfants ; fig. Περσῶν, τραχείας χώρας ἐκγόνων, Plat. Leg. 695a, des Perses, enfants d’une contrée rude ; en parl. de choses, δειλίας ἔκγονος ἀργία, Plat. Leg. 901e, la paresse, fille de la lâcheté ; ἔκγονον ὕϐρεως ἀδικίαν, Leg. 691c, l’injustice, fille de l’insolence, etc. ||
2 p. ext. descendant, Eschl. Pr. 772 ; Hdt. 7, 106 ; Pol. 6, 7, 3 ||
II neutre τὸ ἔκγονον :
1 enfant, rejeton, d’ord. au plur. en parl. de pers. et de choses, Eschl. Pr. 137 ; Eur. H.f. 208 ; Plat. Rsp. 459d, etc. ; fig. en parl. de productions des poètes, Plat. Conv. 209d, etc. ||
2 descendant, p. opp. à τέκνα, NT. 1 Tim. 5, 4 ||
E Duel gén. ἐκγόνοιν, Soph. O.R. 1474. Fém. ἐκγόνη, Eur. Hel. 1667. — Dans les inscr. att. des 5e et 4e siècles av. J.-C. on rencontre souv., par assimil. du κ, ἔγγονος pour ἔκγονος, CIA. 1, 381, etc. (v. Meisterh. p. 83 b).
Étym. ἐκγίγνομαι.