I sel,
particul.
1 bloc de sel, rocher de
sel, Hdt. 4, 181,
182, etc. ; Arstt. Insomn. 53, 8 ||
2 sel pour saupoudrer,
d’ord. plur.
Od. 11, 123 ;
23, 270 ; Hdt.
4, 53 ; 6,
119 ; 7, 30 ; Plat. Conv. 177b, Tim. 60e, etc. ; Plut. M. 684e, etc. ; en ce sens, sg.
Il. 9, 214 ;
Philyll. (Com.
fr. 2, 866); Axion. (Com. fr.
3, 535); prov.
οὐδ’ ἅλα δοίης, Od. 17, 455 ; Thcr. Idyl. 27, 60, tu ne donnerais même pas un grain de sel ;
prov. c. symb.
d’hospitalité : ἅλας τε καὶ
τράπεζαν, Archil. 96, le sel et la table ; cf. Dém. 400, 16 ; ou ἅλες seul, Dém. 401, 3 ; Eschn. 85 fin ;
τῶν ἁλῶν συγκατεδηδοκέναι μέδιμνον,
Plut. M.
94a, avoir
mangé ensemble un boisseau de sel, c. à
d. être de vieux amis ; cf.
Arstt. Eud.
7, 2, 35 ||
3 salines, DH. 2, 55 ||
4 fig. sel d’une plaisanterie, d’un écrit, Plut. M. 685a ||