καταπίπτω
καταπισσόωκατα·πίπτω (f.
καταπεσοῦμαι) tomber, abs. Il. 5, 60 ; ἀπό τινος,
Il. 12, 386 ;
Ar. Av.
840, etc. ;
Xén. Œc.
1, 8, du haut de qqe ch. (d’une tour,
d’une échelle, de cheval, etc.) ;
ἐπὶ γαίῃ, Il.
16, 311 ; ἐπὶ τῆς
γῆς, Xén. Cyr. 4, 5, 54, à terre ;
ἐν κονίῃσι, Il.
12, 23, dans la poussière ; ἐς μέσους τοὺς ἄνθρακας, Eur. Cycl. 667, au milieu des charbons ; πρηνὴς ἁλὶ κάππεσε (v.
ci-dessous) Od. 5, 374, etc. il se jeta
(litt. se laissa tomber) dans la mer ;
en parl. de choses : οἰκίαι καταπεπτωκυῖαι, And.
14, 36, maisons écroulées ; fig. :
1 tomber (dans un défaut,
dans le malheur, etc.) avec εἰς et l’acc. Plat. Phæd. 88d, etc. ; ou πρός et l’acc. Jos. A.J. 2, 16, 1 ||
2 abs. se laisser abattre, être abattu, X. Éph. 1, 5 ; Paus. 10, 20 ; ταῖς ψυχαῖς, Thém.
136b ;
ταῖς γνώμαις, Syn. 117b ; τὴν ψυχήν,
Jos. A.J.
6, 14, 2, perdre courage ; πᾶσιν παραὶ ποσὶ κάππεσε θυμός, Il. 15, 280, leur courage à
tous tomba à leurs pieds, c. à d.
s’amollit ||
3 p.
suite, être affaibli : στόμαχος
καταπεπτωκώς, A. Tr. 8, p. 407, estomac affaibli ||
4 tomber malade,
Luc. Tox.
24, Philops.
16 ||
E Ao. 2 poét. κάππεσον
(seul temps us. dans Hom.) p. κατέπεσον, Il. 1, 593, etc. ; Od. 5, 374, 3 duel
καππεσέτην, Il.
5, 560.