καταπτήσσω
καταπτίσσωκατα·πτήσσω (f.
-πτήξω, pf.
κατέπτηχα)
I au
propre, se blottir de crainte, se faire petit, d’où se courber de frayeur, Od. 8, 190 ; p. suite, rester immobile de frayeur, Il. 8, 136 ; cf. Il. 22, 191 ||
II fig.
1 se cacher de peur,
Dém. 42, 22 ;
DH. 7, 50
||
2 être saisi d’admiration,
admirer, acc. Plut. Syll. 7 ||
E Ao. 2, 3 duel poét.
καταπτήτην, Il.
8, 136 ; part. ao. 2
poét. καταπτακών, Eschl. Eum. 252 ; pf. κατέπτηχα, Dém. 42, 22 ; DH. 7, 50 ; ou κατέπτηκα, Thém.
309 ; part. pf. 2
poét. καταπεπτηώς, Hés. Sc. 295.