λωτόεις

λωτός

λωτοτρόφος
λωτός, οῦ ()
I n. de plante, particul.
1 lotus grec (Trifolium melilotus L. ou Lotus corniculatus L.) fréquent dans les plaines de Sparte et de Troie et qu’on donnait aux chevaux comme fourrage, Il. 2, 776, etc. ; Od. 4, 603 ; Alciphr. fr. 6, 8 ||
2 lotus de Cyrénaïque ou des Lotophages, c. à d. jujubier (Chamnus lotus L. ou Zizyphus lotus L.), p. suite, fruit de cet arbre, c. à d. lotus ou jujube, Od. 9, 93 (v. Λωτοφάγος) ||
3 lotus d’Égypte, sorte de nénuphar (Nymphæa lotus L.) à larges fleurs blanches, Hdt. 2, 92 ; à fleurs roses (Nymphæa nelumbo L.) Hdt. 2, 92 ; Ath. 677d ; à fleurs bleues (Nelumbium speciosum Willd.) Ath. 677d ||
4 lotus du N. de l’Afrique (Celtis australis L.) d’un bois dur et noir, Th. H.P. 4, 3, 1 ; p. suite, flûte en bois de ce lotus, Eur. I.A. 1036, etc. ; Anth. 7, 182 ||
5 lotus d’Italie (Diospyros lotus L.) Colum. 7, 9 ||
II instrument de chirurgie en bois de lotus, P. Eg. 6, 73.
Étym. emprunt méditerranéen.