μόνορχις

μόνος

μονοσάνδαλος
μόνος, η, ον :
A adj. seul, c. à d.
I seul, unique, Il. 2, 212 ; 9, 477, etc. ; Od. 16, 118, etc. ; Hés. Th. 143, O. 96 ; joint à εἷς, μία, ἕν, Od. 23, 227 ; Hdt. 1, 38 ; à πρῶτος, Phalar. Ep. 2, p. 6, 26 ; avec le gén. seul d’entre, etc. Eschl. (Ar. Ran. 1392), etc. ||
II solitaire, isolé, Eschl. Suppl. 748 ; Soph. Ph. 172 ; avec un gén. isolé de, privé de, Soph. Aj. 510 ||
B adv.
I μόνον :
1 seulement, Att. ; οὐ μόνον... ἀλλά, Att. non seulement... mais encore ; οὐ μόνον, au sens de οὐ μόνον οὐ, non seulement... ne pas, Xén. Cyr. 8, 8, 16 et 17 ; Hell. 3, 2, 21 ; Dém. 497, 13 ; οὐ μόνον γε... ἀλλὰ καί, Xén. Cyr. 1, 6, 17, non seulement certes..., mais encore ; cf. Plat. Leg. 752a ; μόνον οὐ, Ar. Vesp. 516, Eccl. 538 ; Pol. 3, 64, 5, etc. ; μονονουχί, Luc. Tim. 12 ; μόνον δ’ οὐχί, Pol. 3, 64, 4, peu s’en faut que, presque ||
2 seulement, du moins, avec l’opt. Eschl. Ch. 244 ; avec l’impér. Eschl. Suppl. 1012 ; μόνον μή, Xén. Conv. 8, 6 ; μὴ μόνον, Eur. Cycl. 219, que seulement... ne, que du moins... ne, pourvu que... ne, à moins que... ||
II acc. pl. fém. μόνας dans la loc. κατὰ μόνας, à soi seul, séparément, Thc. 1, 32 et 37 ; Xén. Mem. 3, 7, 4 ; Plat. Leg. 942a, etc. ||
Sup. μονώτατος, Ar. Pl. 182, Eq. 352 ; Thcr. Idyl. 15, 137 ||
E Ion. épq. et poét. μοῦνος, seule forme dans Hom. ; alternant avec μόνος dans Soph. O.R. 1418 ; dor. μῶνος, Thcr. Idyl. 20, 45 ; fém. éol. μόνα, Sapph. 52 Bgk.
Étym. p. *μόνϝος, p.-ê. indo-europ. *mon-uo-, de la R. *men- petit, cf. μανός.