νωτοπλήξ

νῶτος

νωτοφορέω-ῶ
νῶτος, ου () ou νῶτον, ου (τὸ)
1 dos, en parl. des hommes, Soph. Tr. 1092, etc., et des animaux, Il. 2, 308 ; 9, 207, etc. ; Od. 4, 65, etc. ; τὰ νῶτα ou τὸ νῶτον ἐπιστρέφειν, Oracl. (Hdt. 7, 141) ; Luc. Apol. 28 ; ou ἐντρέπειν, Hdt. 7, 211 ; δεῖξαι, Plut. Marc. 12, tourner le dos, montrer le dos, s’enfuir ; κατὰ νῶτα, Thcr. Idyl. 22, 84, par derrière ; κατὰ νώτου τινὶ ἐπιγίγνεσθαι, Thc. 3, 108, prendre qqn à dos, par derrière ||
2 fig. surface convexe, arrondie (surface de la mer, Il. 2, 159 ; Eur. I.T. 1446, etc. ; de la terre, Pd. P. 4, 228, etc. ; Eur. I.T. 46, 161) ; voûte du ciel, Eur. El. 731 ; Ar. Th. 1067 ; Plat. Phædr. 247c ; sommet d’une montagne, Pd. O. 7, 159 ; Eur. Hipp. 127 ; moyeu de roue, Spt. 3 Reg. 7, 33, d’où roue d’un char, Eur. Tr. 572 ||
E Au sg. masc. dans Homère, Hésiode, Xénophon ; neutre dans Platon, Aristote, etc. particul. en poésie, dans le sens du sg. ; le masc seul. dans les Spt. 3 Reg. 7, 33.
Étym. cf. lat. nates.