παρακμάζω
παρακμαστικόςπαρ·ακμάζω, avoir passé le moment de sa fleur, de sa force, de sa
fraîcheur, d’où se flétrir, dégénérer,
déchoir, en parl. de fleurs, de fruits,
etc. Xén.
Mem. 4, 4, 23,
etc. ; fig.
de la beauté, Xén. Conv. 4, 27, etc. ; du corps, Plut. Cæs. 69, etc. ; οἱ παρηκμακότες,
Arstt. Rhet.
2, 13, les hommes usés ou affaiblis, les vieillards ; en
parl. d’un État vieillissant, Pol.
6, 51, 5, des
passions qui se calment, Plut.
Brut. 21,
etc. ; p. anal. du
vent qui s’apaise, Th. Vent. 35.