πεῖσμα
πεισμάτιοςπεῖσμα, ατος
(τὸ) propr. ce
qui lie, d’où :
I au
pr.
1 câble avec lequel on
attachait l’arrière du navire à la terre, amarre de navire,
Od. 13, 77 ;
Eschl. Pers.
117, Suppl.
765 ; fig.
Plat. Tim.
85e,
Leg. 893b, etc. ||
2 p.
ext. tout cordage servant à tenir, Od. 9, 136 ; 10, 127, 167 ; 22, 465 ;
Eschl. Ag.
195 ||
II p.
anal. ou fig.
1 queue par laquelle la
figue tient à la branche, Geop.
10, 56, 2 et 4 ||
2 persuasion, d’où confiance, Sext.
P. 1, 18 ;
Arr. Epict.
2, 20, 26.
Étym.
p. *πένθ-σμα,
de la R. indo-europ. bhendh-, lier,
cf. πενθερός
et p.-ê. πάσχω,
angl. bind.