φλοιόρριζος

φλοιός

Φλοῖος
φλοιός, οῦ ()
I écorce, particul. :
1 écorce intérieure, plus tendre, de l’arbre, joint à φύλλα, Il. 1, 237 ; Hh. Ven. 272 ; Empéd. (Plut. M. 919d) ; Xén. Cyn. 9, 18 ; Plut. M. 1029e, Alex. 18, etc. ; cf. Th. H.P. 1, 5, 2 ; C.P. 5, 17, 1, etc. ; au plur. Str. 513, 713 ; fig. écorce, enveloppe, en parl. de discours où l’on recouvre ce qu’on veut dire comme d’une enveloppe, au lieu de se borner à une brève exposition, Plut. M. 510f ; en parl. d’une voix couverte ou rude, DL. 4, 4, 27 ; du voile qui recouvre des objets cachés, M. Ant. 12, 2 et 8 ; en gén. l’extérieur, Luc. Herm. 79 ; joint à τὰ εἴδωλα, Plut. M. 1106 ||
2 écorce, pelure des fruits, Empéd. (Plut. M. 684a) ; Arstt. Plant. 1, 3, 7 ||
3 membrane qui enveloppe les œufs de certains animaux, Arstt. H.A. 5, 34, 1 ||
4 fil avec lequel les araignées tissent leur toile, Arstt. H.A. 9, 39, 7 ||
II sorte de chêne, Th. H.P. 3, 8, 2.
Étym. cf. p.-ê. φλέω.