πρόσκυνες

προσκυνέω-ῶ

προσκυνήσιμος
προσ·κυνέω-ῶ (f. -ήσομαι, rar. -ήσω, ao. προσεκύνησα, pf. προσκεκύνηκα) [] saluer en se prosternant, ou p.-ê. en portant la main à sa bouche comme pour la baiser, Hdt. 2, 121, etc. ; avec un rég. θεόν, Soph. Ph. 657, etc., postér. θεῷ, NT. Matth. 2, 2 et 11 ; Joh. 4, 23, etc. se prosterner devant un dieu, devant la divinité ; de même, se prosterner devant un lieu sacré, acc. Soph. El. 1374 ; Plat. Rsp. 469a, etc. ; particul. en parl. de suppliants, Soph. O.R. 327 ; Eur. Or. 1507, etc. ; ou des Perses devant le grand roi, Hdt. 1, 119, etc. ; d’où conjurer (la jalousie des dieux) Soph. Ph. 776 ||
E Ao. poét. προσέκυσα [] Ar. Eq. 640 ; impér. πρόσκυσον, Soph. Ph. 776, etc. ; inf. προσκύσαι, Soph. Ph. 657 ; part. προσκύσας, Soph. Ph. 533, 1408 ; pf. réc. προσκεκύνηκα, Plut. Alex. 54, etc.