σελάννα

σέλας

σέλασμα
σέλας (τὸ) éclat, lumière, lueur brillante, en parl. du feu, Il. 8, 563, etc. ; Od. 18, 353 ; Hés. Sc. 275 ; Pd. P. 3, 69 ; Eschl. Ag. 281 ; particul. du feu d’un foyer, Soph. Tr. 607 ; d’un fourneau, Eschl. fr. 280 ; d’un volcan, Soph. Ph. 986 ; en parl. du jour, Soph. Aj. 856 ; Plat. Crat. 409b, etc. ; en parl. de corps célestes, du soleil, Eschl. Eum. 926 ; Soph. El. 17, etc. ; Eur. Suppl. 469 ; de la lune, Il. 19, 374 ; d’une torche ou d’un flambeau, Hh. Cer. 52 ; Anth. 9, 46 ; A. Rh. 4, 808 ; d’un éclair, Il. 8, 76 ; Hdt. 3, 28 ; Soph. O.C. 95 ; d’un météore, Arstt. Mund. 4, 23 ; fig. en parl. du feu que jettent les yeux d’un homme irrité, Eschl. Pr. 356 ; Eur. Cycl. 663 ; cf. Il. 19, 17, 366 ; fig. en parl. du feu de l’amour, Thcr. Idyl. 2, 134 ; Anth. 12, 93 ||
E En prose, seul. nom. acc. sg. ; en poésie gén. σέλαος, Hh. Cer. 52 ; Hés. Th. 867 ; dat. σέλαϊ, Il. 17, 739, d’où p. contr. σέλᾳ, Od. 21, 246 ; plur. τὰ σέλα [] Anth. 9, 289, 4 ; gén. σελάων, Anth. 9, 46, 6 ; dat. σελάεσσι, Man. 1, 328.
Étym. Étymol. obscure.