σέλινον
σελινόσπερμονσέλινον, ου
(τὸ) [ῑ,
v. ci-dessous] ache ou persil, plante,
Il. 2, 776 ;
Od. 5, 72 ;
Batr. 54 ;
Hdt. 4, 71,
etc. ; on en faisait
des couronnes aux vainqueurs des jeux isthmiques et néméens,
Pd. O.
13, 46 ; N.
4, 143 ; I.
2, 23 ; T.
Taur. (Plut. M. 676c); Luc. Gymn. 9 ; on s’en servait également pour ranimer les mourants, d’où le
prov.: σελίνου δεῖται,
Plut. M.
676d,
DS. 16, 79, il
a besoin de persil, c. à d. il va
mourir ; on le cultivait à l’entrée des jardins
ou au bord des plants, d’où le prov.: οὐδ’ ἐν σελίνῳ, Ar.
Vesp. 480, pas
même encore au persil, c. à d. à l’entrée
(du jardin) ou au commencement de la
besogne ||
E [ῐ] Anth. 7, 621, 2.