σταδιοδρόμος

στάδιον

στάδιος
στάδιον, ου (τὸ) []
I le stade, mesure de 600 pieds grecs ou 625 pieds romains, Hdt. 4, 101 ; 5, 53 ; 9, 23 ; Att. ; fig. ἑκατὸν σταδίοισιν ἄριστος, Ar. Nub. 430, de cent stades (c. à d. de beaucoup) le meilleur ||
II p. ext. :
1 carrière de la longueur d’un stade, d’où course dans le stade, Thgn. 1306 ; Pd. O. 10, 76 ; 13, 41, 50, etc. ; τὸ στάδιον ἀγωνίζεσθαι, Hdt. 5, 22 ; Xén. An. 4, 8, 27 ; ou ἀμιλλᾶσθαι, Plat. Leg. 833a, disputer le prix de la course du stade ; τὸ στάδιον νικᾶν, Xén. Hell. 1, 2, 1, remporter le prix du stade ||
2 vaste espace pour la danse, Eur. Ion 497 ||
3 p. anal. jeu de trictrac ou d’échecs, comparé au stade dans lequel s’exercent les lutteurs, Anth. 15, 18 ||
E Contracté en στάδιν, dans une inscr. att. CIA. 3, 1223, d, 3, 6, add. 238, a, 9, b, 6 ; v. Meisterh. p. 58, § 26, 4 ; plur. hétérog. στάδιοι, dans une inscr. att. du 4e siècle av. J.-C. ; v. Meisterh. p. 113, 12.
Étym. Étymol. incert.