στέρνον
στερνοτυπέομαι-οῦμαιστέρνον, ου
(τὸ)
I partie large et plate
qui forme le devant de la poitrine, sternum, Poll. 2, 162 ; p. suite :
1 poitrine de l’homme
(dans Hom. seul. en ce sens, στῆθος en parl. de l’homme et de
la femme) Il. 4, 528, etc. ;
Od. 5, 346,
etc. ; Pd.
N. 10, 127 ;
Xén. An.
1, 8, 26 ; au
plur. Il. 3,
194 ; 13, 282 ; Pd. P. 1, 34 ; en prose, au plur.
en parl. d’une seule pers. Xén. Cyr. 1, 2, 13 ; 4, 6, 4 ;
poitrine de la femme, Soph. Tr. 482 ; Eur. Hec. 563 ; au plur.
Eschl. Pers.
1054 ; Soph.
El. 90,
etc. ; Eur.
Hec. 560
||
2 poitrail des chevaux,
Il. 23, 365,
508 ; des brebis, Od. 9, 443 ||
II p.
ext. poitrine comme siège du cœur, des sentiments, des
affections, d’où cœur, Soph. fr. 203 Dind. ;
d’ord. au pl.
Soph. Ant.
639, etc. ;
Eur. Ph.
134, etc. ;
fig. cœur, partie intérieure (d’un foyer,
du feu) Nic. Th.
924.
Étym. R.
indo-europ. *sterh₃-, étendre, déployer ; cf. στόρνυμι, στορέννυμι,
lat. sternō.