ἀποπροάγω
ἀποπροαιρέω-ῶἀπο·προάγω (seul. pf. pass.
inf. ἀποπροῆχθαι, Sext. et part. neutre
ἀποπροηγμένα) t.
stoïc. « n’être pas préféré, ce qui n’est pas préféré » par
l’homme, p. ex. la maladie, la pauvreté,
DL. 7, 105 ;
A. Gell. 12,
5 ; cf. Cic. Fin. 3, 15 ; Fam. 9, 7, etc.