αὐλίδιον

αὐλίζομαι

αὐλικός
αὐλίζομαι (impf. ηὐλιζόμην, f. inus., ao. ηὐλισάμην et ηὐλίσθην, pf. ηὔλισμαι)
1 vivre en plein air, en parl. de bestiaux parqués (bœufs, Od. 12, 265 ; porcs, Od. 14, 412) ; d’où camper en plein air, en parl. de troupes bivouaquant pendant le jour, Hdt. 8, 9 ; 9, 37 ; Xén. Cyr. 4, 6, 6 ; surt. pendant la nuit, Thc. 4, 45 ; 6, 7, etc. ; Pol. 10, 15 ; 18, 10 ; d’où, même en parl. d’une pers. seule, passer la nuit en plein air, Eup. 322 Kock ; 463, 18 Bekker, Anecdota græca, vol. 1 ||
2 p. ext. séjourner en plein air, en parl. d’animaux ou d’oiseaux, Hdt. 3, 110 ; Arstt. H.A. 9, 32 ; A. Rh. 3, 325 ||
3 p. suite, se fixer qqe part, en parl. du sang, Arét. 13, 35 ||
E Impf. ion. αὐλιζόμην, Luc. Syr. 22. Fut. réc. αὐλισθήσομαι, Spt. Job 29, 19, etc. ; Sib. 3, 789. Ao. dans Thc. touj. ηὐλισάμην, 4, 13 ; 6, 65 et 71, etc. ; dans Xén. touj. ηὐλίσθην, Xén. An. 3, 2, 5 ; 4, 1, 11, etc. Pf. réc. ηὔλισμαι, Arr. An. 3, 29, Jos. B.J. 1, 17, 5.
Étym. αὐλή.