ἑορτή
ἑόρτιοςἑορτή, ῆς
(ἡ)
1 fête, Od. 20, 156 ; 21, 258 ; Hdt. 1, 31, etc. ; ἑορτὴν ἄγειν, Thc.
4, 5 ; ou
ἑορτάζειν, Xén.
Ath. 32,
célébrer une fête ; ἑορτὴν θεῷ ποιεῖν,
Thc. 2, 15,
célébrer une fête en l’honneur d’un dieu ; ἐν
ἑορταῖς, Plat. Conv. 197d ; ἐν ταῖς ἑορταῖς,
Plat. Leg.
653d ;
ταῖς ἑορταῖς, Ath. 137e, pendant la fête ; κατόπιν
ἑορτῆς ἥκειν, Plat. Gorg. 447a, arriver après la fête, c. à
d. trop tard ; avec le gén. du n. de
fête : ἡ τῶν Παναθηναίων καὶ ἡ τῶν
Διονυσίων ἑορτή, Dém. 50, 5, la fête des Panathénées et celle des
Dionysies ; p. suite, jour de fête,
Thcr. Idyl.
15, 26 ; dans les
Livres saints : ἡ ἑ. τοῦ
Πάσχα, Spt. Ex. 34, 25 ; NT. Luc. 2, 41 ; Joh. 13, 1 ; 2, 23 ;
ou abs.
ἡ ἑορτή, Spt.
Ex. 12, 14 ;
NT. Matth.
26, 5, la fête de Pâques ; ἡ ἑ. τῶν ἀζύμων, Spt.
Ex. 23, 15 ;
34, 17 ; Deut.
16, 6 ; NT.
Luc. 22, 1, la
fête des pains sans levain ; ἡ ἑ. τῆς
σκηνοπηγίας, Spt. Deut. 16, 16 ;
31, 11 ; NT.
Joh. 7, 2 ;
Plut. M.
671d, la fête
des Tabernacles ||
2 p.
ext. réjouissance, amusement en
gén. Eschl. Eum. 191 ; Thc. 1, 70 ; παιδίας καὶ ἑορτῆς χάριν, Plat. Phædr. 276b, en guise
d’amusement et de passe-temps ; ἑ. ὄψεως,
El. V.H.
13, 1, charme pour la vue ||
E Ion. ὁρτή, Hdt. l. c. etc. ; dor. ἑορτά, Thcr. Idyl. 15, 26.
Étym.
Étymol. inconnue.