ὁποστοσοῦν

ὁπόταν

ὁπότε
ὁπότ·αν, conj. quand par hasard, d’où en gén. quand, lorsque, en deux mots dans Homère, ὁπότ’ ἄν ou ὁππότ’ ἄν (v. ὁπότε) et chez les Att. lorsque ὁπότ’ ἄν est joint à un autre relatif également accompagné de ἄν, avec lequel il marque un même mouvement de la pensée : ὁπότ’ ἂν βούληται καὶ ὃν ἂν δύνηται τρόπον, Dém. 569, 20, quand il voudra et comme il pourra ; en tout autre cas, ὁπόταν :
1 avec le sbj. après un temps princip. ou un impér. Pd. P. 1, 6, etc. ; Soph. Ph. 146 ; Xén. Cyr. 3, 2, 7, etc. ; après un inf. prés. au sens d’un fut. Thc. 5, 7 ; après un part. fut. Xén. An. 7, 1, 12 ; qqf. après un temps second. quand on parle d’un fait habituel, et qui se produit au moment où l’on parle, Soph. El. 91 ||
2 avec l’opt. après une prop. dont le verbe est lui-même à l’opt. avec ἄν : εἶθ’, ὁπόταν ἥκοι ἐπὶ τὸ δεῖπνον, λέγοιμ’ ἂν ὅτι λοῦται, Xén. Cyr. 1, 3, 11, ensuite, quand il viendrait pour le souper, je lui dirais que (le roi) est au bain ; cf. Plat. 2 Alc. 146a ||
3 postér. avec l’ind. Sch.-Thc. 1, 49, etc. ; mais non Il. 21, 340, φθέγξομαι est un sbj. épq. p. φθέγξωμαι, ou Od. 1, 41, ἱμείρεται est un sbj. épq. p. ἱμείρηται.
Étym. ὁπότε ἄν.