ὅστε
ὀστέϊνοςὅσ·τε, ἥ·τε, ὅ·τε,
qui, lequel, (τε n’ajoute en apparence aucun sens à ὅς expliqué comme relatif ; en réalité ὅστε primitiv. pron. démonstr. signifie « et
celui-ci ») ; avec un antécéd. exprimé,
θεάων τάων αἵτ’, Il. 5, 332, des déesses
qui, etc. ; τῷ ἴκελος
ὅντ’, Il. 24,
758, semblable à celui que, etc. ;
suivi de περ,
Il. 20, 65,
etc. ; us. dans la
poésie épq., en ion. et chez les Lyr. ; de même dans les chœurs des Trag. Eschl. Ag. 50, Ch. 615, etc. ; Soph. El. 151, Tr. 824 ; Eur. Hec. 445, rar. dans le dial. Eschl.
Pers. 297 ;
avec ῥα
entre ὅς
et τε,
Il. 4, 482 ;
15, 411, etc. ; avec μὲν ἄρ entre ὅς et τε, Od. 5, 369 ; adv. ἅτε (v. ce mot)
ᾧτε ou
ὧτε (v. ce
mot) ; ᾗτε, dor. ᾇτε, où, Ar. Lys. 1308 ; ἐξ οὗτε, depuis
que, Eschl. Pers. 752, etc. ; ἐς ὅτε, jusqu’à ce
que, Att. ; ἐφ’
ᾧτε (v. ἐπί) ||
E Épq. et ion. avec les formes de ὅ
τε pour ὅστε, Il. 15, 468, etc. ; Od. 14, 221 ; τό τε,
Hés. Th.
806 ; plur.
neutre, τά τε, Il. 5, 481, etc. ; Od. 8, 558, etc. ;
acc. fém. τάς
τε, Il. 11,
554 ; ne pas confondre avec
ὅς τε, et celui qui, Il. 2, 365, etc.