ὑπεραντλέομαι-οῦμαι

ὑπέραντλος

ὑπεράνω
ὑπέρ·αντλος, ος, ον, litt. qu’on ne peut vider ou épuiser, d’où :
1 en parl. d’un navire, qui fait eau de toutes parts, Anth. 5, 204 ; Plut. Luc. 13 ; fig. inondé, submergé : συμφορᾷ, Eur. Hipp. 767, par le malheur ; ταῖς φροντίσιν, Plut. Mar. 45, surchargé de soucis ; abs. Luc. Tim. 18 ||
2 p. anal. en parl. de choses (provisions, etc.) inépuisable, Thém. 221b ; d’où fig. immense, sans bornes, Luc. Tim. 4.