φιλοφόρμιγξ

φιλοφρονέω-ῶ

φιλοφρόνημα
φιλοφρονέω-ῶ [] (seul. prés.) Plut. M. 750d ; Spt. 2 Macc. 2, 25 ; Nicostr. (Stob. Fl. 70, 12) ; d’ord. moy. φιλοφρονέομαι-οῦμαι (f. -ήσομαι, ao. ἐφιλοφρονησάμην ou ἐφιλοφρονήθην)
I intr. avoir des sentiments d’amitié ou de bienveillance : τινι, Xén. Cyr. 3, 1, 8 ; Œc. 4, 20 ; πρός τινα, DS. 16, 89, 91, pour qqn ||
II p. suite, tr. :
1 avec un acc. de pers. traiter ou accueillir avec bonté : τινα, Hdt. 3, 50 ; Plat. Leg. 678e, 738d, 952d, qqn ; ἀλλήλους, Xén. An. 4, 5, 34, se témoigner une bienveillance réciproque ; avec un acc. de chose : φ. ἤθη κακά, Plat. Leg. 669b, accueillir volontiers, c. à d. embrasser ou prendre de mauvaises habitudes ||
2 rendre service : τί τινι, Xén. Cyr. 3, 1, 8, rendre qqe service à qqn ||
3 être complaisant pour, céder à, se laisser aller à (sa colère, sa passion, etc.) dat. Plat. Leg. 935c ||
4 plaire à, flatter, caresser : φιλοφρονεῖταί μέ τι, Plat. Leg. 820e, qqe ch. me flatte ||
III être de belle humeur, être gai, joyeux, Xén. Ap. 7.
Étym. φιλόφρων.