προοιμιαστέον

προοίμιον

προοιστέον
προ·οίμιον, ου (τὸ) entrée, d’où :
1 préambule ou prélude d’un chant, Pd. P. 1, 6 ; particul. petit poème lyrique, hymne, Thc. 3, 104 ; Plat. Phæd. 60d ||
2 exorde ou début d’un poème, Pd. N. 2, 3 ; d’un discours, Arstt. Rhet. 3, 14, etc. ; fig. prélude, début (d’une épreuve pénible, Eschl. Suppl. 830 ; d’une inimitié, Pol. 23, 2, 15 ; de l’exercice du pouvoir, Pol. 26, 5, 8, etc.) ; cf. Xén. Mem. 4, 2, 3 ; Luc. Somn. 3, etc. ||
E Par contr. att. φροίμιον, Eschl. Ag. 31, etc. ; Eur. Hipp. 568, etc.
Étym. π. οἶμος.