προσδεύομαι

προσδέχομαι

προσδέω
προσ·δέχομαι :
I recevoir, accueillir (un hôte, etc.) acc. Eschl. Eum. 656 ; Soph. O.R. 1428, etc. ; Eur. Ph. 1706, etc. ; Thc. 2, 12 ; Xén. Cyr. 7, 5, 37, etc. ; particul. admettre comme citoyen, accorder le droit de cité à, acc. Plat. Leg. 708a ; Dém. 1317, 6 ; particul. :
1 faire bon accueil à, agréer volontiers (l’alliance, l’amitié de qqn, etc.) Xén. Hell. 7, 4, 2 ; Pol. 1, 16, 8, etc. admettre un argument, une raison, Plat. Rsp. 485c, 561b ||
2 supporter, accepter, acc. Arstt. H.A. 6, 23, 7, etc. ||
3 se charger de, prendre sur soi, acc. Pol. ||
4 être capable de, acc. Plat. Phil. 15b, etc. ||
II attendre : σὴν ποτιδέγμενος (ion.) ὁρμήν, Od. 2, 403, attendant ton élan, c. à d. ton impulsion ; cf. Il. 19, 234, 336 ; Od. 2, 186 ; espérer ou craindre, acc. Thc. 4, 19 ; Soph. Tr. 15, etc. ; avec une prop. inf. Hdt. 5, 34, etc. ; Xén. Cyr. 4, 5, 22 ; avec ὁπότ’ ἄν et l’opt. Il. 7, 415 ; ou εἰ et l’opt. Od. 23, 91 ; ou εἰ et l’indic. Call. Dian. 147, attendre que, attendre si ; particul. attendre de pied ferme, acc. Pol. 2, 69, 6, etc. ||
E Ao. προσεδέχθην au sens pass. DS. 15, 70. Ion. προσδέκομαι, Hdt. 1, 48, etc. ; épq. part. ποτιδέγμενος, Hom. ll. cc.