σκηπτοφόρος

σκῆπτρον

σκηπτροφορέω-ῶ
σκῆπτρον, ου (τὸ) bâton :
I bâton pour s’appuyer, Il. 18, 416 ; Od. 17, 199 ; Eschl. Ag. 75 ; Eur. H.f. 254 ; fig. appui, soutien, Soph. O.C. 1109 ; Eur. Hec. 281 ; en parl. d’amis fidèles, Xén. Cyr. 8, 7, 13 ; particul. bâton de voyageur ou de mendiant, Od. 13, 437 ; 14, 31 ; 18, 103 ; Soph. O.R. 456 ; employé pour frapper, Il. 2, 265, 268 ; cf. Il. 2, 199, etc. ; pour pousser ou stimuler, Il. 2, 199 ||
II bâton de commandement :
1 bâton de roi ou de chef, sceptre, Il. 1, 234, 245 ; 2, 46, 101, 186, etc. ; Od. 3, 412 ; Xén. Mem. 3, 9, 10 ; comme signe de la dignité royale ou de la puissance souveraine, Il. 9, 159, etc. ; p. suite, au sens de souveraineté, de puissance, Eschl. Pr. 171, etc. ; au plur. Eschl. Eum. 736, etc. ||
2 bâton de juge, Il. 1, 238 ; 9, 156, 298 ; Od. 11, 569, etc. ||
3 bâton de prêtre ou de devin, Il. 1, 15 ; Od. 11, 91 ; Eschl. Ag. 1265 ||
4 bâton de héraut, Il. 7, 277 ; 18, 505 ||
5 bâton d’ambassadeur ou d’orateur dans les assemblées aux temps héroïques, Il. 3, 218 ; 23, 568 ; Od. 2, 37, 80 ||
6 bâton de rhapsode, Hés. Th. 30 ||
7 à Rome, bâton de consul, DH. 3, 62 ||
E Dor. σκᾶπτον, Pd. O. 7, 50, etc. ; postér. σκᾶπτρον, Anth. 7, 428 ; 9, 17 ; mais σκῆπτρον dans les chœurs des Tragiques, Soph. Ph. 140.
Étym. σκήπτω.