τοκογλύφος

τόκος

τοκοφορέω-ῶ
τόκος, ου ()
I action d’enfanter ou de mettre bas, enfantement, Il. 19, 119 ; Hh. Cer. 101 ; en parl. d’animaux, Il. 17, 5 ; ἀπὸ τόκου, Xén. Lac. 15, 5, dès la naissance ; au plur. Soph. O.R. 26, etc. ; Arstt. H.A. 5, 8, 8, etc. ; particul. époque de l’enfantement, Hdt. 1, 111 ; en parl. d’animaux, Arstt. G.A. 4, 10, 4 ||
II ce qui est enfanté :
1 enfant, rejeton, d’où race, postérité, Il. 7, 128 ; 15, 141 ; Eschl. Sept. 372, etc. ||
2 petit ou portée d’un animal, Od. 15, 175 ; Eur. Cycl. 162 ; frai d’un poisson, Arstt. H.A. 5, 9, 4 ||
3 produit ou fruits que fournit la semence d’un champ, Xén. Cyr. 8, 3, 38 ||
4 produit de l’argent prêté, intérêts, revenu, Pd. O. 11, 12 ; Ar. Nub. 18, 20, etc. ; τόκοι τόκων, Ar. Nub. 1140, intérêts des intérêts, intérêts composés ; δανείζεσθαι ἐπὶ τόκῳ, Dém. 13, 20 ; ou ἐπὶ τόκον, Dém. 1212, 1, prêter à intérêts ; τόκους ἀποδιδόναι, Ar. Nub. 739, 1156 ; Isocr. 366b, payer des intérêts ; ἐν τόκῳ ἀποδιδόναι, Arstt. Œc. 2, rendre avec usure.
Étym. τίκτω.