βρυχάομαι-ῶμαι
βρυχήβρυχάομαι-ῶμαι (impf. ἐϐρυχώμην,
inus., ao.
ἐϐρυχήθην, ao. moy.
réc. ἐϐρυχησάμην, pf. βέϐρυχα) [ῡ]
1 rugir, en parl. de lions, Hsch.
Amm. ||
2 p.
anal. rugir ou mugir, en parl. d’éléphants, Plut.
Pyrrh. 33 ;
de bêtes sauvages, Thcr. Idyl. 25, 137 ; du bruit des
vagues, Il. 17,
264 ; Od. 5,
412, etc. ; en
parl. de cris de douleur, Il.
13, 393 ; 16,
486 ; Soph. Tr. 805 ; O.R. 1265 ; des cris d’un enfant qui pleure, Mén. fr. inc. 432 Meineke
||
E Impf. poét. sans augm. 3 sg. βρυχᾶτο, Soph. Tr. 904. Fut. seul. en compos.
(καταϐρυχήσομαι, Eum. 11, 445). Ao. pass. au sens moy. part. βρυχηθείς, Soph.
O.R. 1265.
Ao. moy. réc. 3 sg. ἐϐρυχήσατο, DC. 68, 24 ; βρυχήσατο,
A. Rh. 4, 19 ;
Nonn. D.
38, 357. Pf. au sens
du prés. βέϐρυχα, Il. 17, 264 ; Soph. Tr. 1072 ; part. βεϐρυχώς, Il. 13, 393. Pl. q. pf. au sens de
l’impf. Od. 12,
242 (3 sg. βεϐρύχει, var. ἐϐεϐρ.) ; en prose réc.
DH. 14, 18 ;
Arstd. 15,
233.
Étym.
probabl. onomatopée.