γραμματειδιοποιός

γραμματεῖον

γραμματεύς
γραμματεῖον, ου (τὸ) [μᾰ]
I tablette pour écrire, Ar. fr. 206 ; Plat. Prot. 326d ; Plat. com. (Poll. 7, 210) ; etc. ||
II petit écrit, particul.
1 document judiciaire, pièce de procédure, Lys. 897, 3 ; Dém. 956, 2 ||
2 testament, Dém. 1091 ; Is. 59, 21 ||
3 livre de comptes, Dém. 1111, 22 ||
4 γρ. ληξιαρχικόν, Is. 66, 14 ; Dém. 1306, 22, registre public où étaient inscrits les jeunes gens devenus majeurs, à Athènes ||
III lieu où l’on apprend à lire et à écrire, école enfantine, Ath. 210f ||
IV collectiv. la classe des écrivains, les écrivains, Pol. 4, 87, 8 ||
E γραμματέον dans une inscript. att. CIA. 2, 766, 87 et 117 (340/338 av. J.-C.), à côté de γραμματείου, ibid. add. 841, b, 20 (396 av. J.-C.).
Étym. dim. de γράμμα ; cf. γραμμάτιον.