γραμματικός
γραμματικῶςγραμματικός, ή, όν
[μᾰῐ]
I qui concerne l’art de
lire ou d’écrire, d’où :
1 ἡ
γραμματικὴ ἐπιστήμη, Arstt.
Top. 6, 5, 2 ;
ou subst. ἡ
γραμματική (s. e. τέχνη), Plat. Crat. 431e, Soph. 253a, la science
ou l’art de lire et d’écrire, la
grammaire ; τὰ γραμματικά, connaissances
grammaticales, étude de la grammaire, grammaire, Plut. M. 75b, 419b ; Arr. Epict. 1, 12, 13 ; 2, 9, 10
||
2 ἡ
γραμματική, l’ensemble des caractères d’écriture,
l’alphabet, Pol. 10,
47, 7 ; Str. 139 ; Plut. Arist. 1 ||
3 qui sait lire et écrire,
Xén. Mem.
4, 2, 20 ; Plat. Theæt. 207b ; Arstt. Nic. 2, 4, 1, etc. ;
p. opp. à ἀγράμματος, Plut.
M. 582a ; DL. 2, 99 ; etc. ||
4 ὁ
γρ. qui enseigne à lire et à écrire, Plut. M. 59f ||
5 ὁ
γρ. scribe, secrétaire, c.
γραμματεύς, Spt.
Esaï. 33, 18
||
II postér. qui concerne les lettres, particul.
1 qui s’occupe de l’étude
ou de la critique des anciens textes
(texte d’Homère, etc.), d’où grammairien, critique, Pol. 32, 6, 5 ;
DL. 3, 61 ;
D. Chrys. 2,
274 ; etc. ; ἡ
γραμματική (s. e. ἐπιστήμη) l’érudition, la science critique,
Eratosth. (Bkk. 725,
21) ||
2 qui concerne la science,
en gén. p. opp. à ἀγραμματία, Phil.
1, 502 ||
III orné de lettres
gravées, en parl. d’une coupe,
Ath. 466e ; Luc. Lex. 7 ||
Cp. -ώτερος, Plat. Pol. 285d ; Sext. 1, 57, p. 229.
Étym.
γράμμα.