σχοινώδης

σχολάζω

σχολαῖος
σχολάζω (ao. ἐσχόλασα, pf. ἐσχόλακα)
I avoir ou prendre du loisir, être oisif, inoccupé :
1 abs. Eschl. Suppl. 207, etc. ; Eur. Hec. 730, etc. ; tarder, différer, Eschl. Suppl. 883 ||
2 avec un inf. avoir le loisir de, Xén. Cyr. 2, 1, 9 ; 8, 1, 18 ; Plat. Leg. 763d, etc. ||
3 avec un rég. d’éloignement : τινός, Plut. Nic. 2, 8 ; ἀπό τινος, Xén. Cyr. 7, 5, 52, se reposer de qqe occupation ||
4 avec un rég. de tendance, consacrer son loisir à : πρός τι, Xén. Mem. 3, 6, 6 ; τινί, Dém. 594, 16 ; Luc. Macr. 4 ; V.H. 2, 15, etc. ; πρός τινι, Arstt. Pol. 5, 8, 16 ; ἐπί τινος, Arstt. P.A. 4, 5, 61 ; περί τι, Plut. Brut. 22, à qqe ch. ; avec un rég. de pers. : τινί, Xén. Cyr. 7, 5, 39 ; πρός τινα, Plut. Num. 14, à qqn, c. à d. fréquenter qqn, entretenir des relations amicales avec qqn ; particul. être auditeur ou disciple de qqn, Xén. Conv. 4, 44 ; ou au contr. être le maître de qqn, tenir école, faire des cours, des conférences, DH. Amm. 1, 5 ; Plut. Dem. 5 ; au pass. Sext. M. 11, 167 ||
II en parl. de choses, être vacant : τόπος σχολάζων, Plut. C. Gracch. 12, lieu vide ; καθέδρα σχολάζουσα, Jul. Cæs. 316c, chaire vacante.
Étym. σχολή.